vendredi 30 juin 2017

#ChallengeAZ - Z comme « Zou, z’ai fini ! »

Bon OK, c’est facile mais je suis tellement fière d’avoir fait ce challenge pour la première fois et d’en être arrivée au bout !

Et puis je n’ai que 2 prénoms commençant par Z et ce ne sont pas mes ancêtres directes : 2 Zoé et 1 Zélia.

J’ai réussi à trouver une idée pour toutes les lettres même si j’ai pris quelques libertés et chemins détournés pour certaines !

L’autre jour, j’ai fait un rêve : j’écrivais le challenge AZ 2018. L’idée est belle mais très ambitieuse. Si je veux la réaliser, ça me demandera beaucoup plus de travail que pour ce challenge- ci qui était, au final, juste une revue de quelques unes de mes ancêtres.

Donc on verra l’année prochaine si j’arrive au bout de ce challenge ambitieux et si je trouve le temps et l’énergie pour le réaliser.

En attendant, la récap' de mon challenge version 2017 est ici.

Si vous voulez voir les participations de tous les autres « cinglés » qui ont participé, leurs contributions sont réunies dans ce tableau google.

Mon objectif des mois qui viennent est donc d’abord de lire toutes les contributions des autres participants.

Alors peut-être à l’année prochaine pour le challenge AZ 2018 et pour sûr d’ici quelques jours ou semaines pour d’autres aventures pour mon blog, certains articles publiés durant ce mois m'ont donné quelques idées.

jeudi 29 juin 2017

#ChallengeAZ - Y comme Yvonne

Y comme Yvette, Yolaine... ou encore Yvonne.

Ou quand le challengeAZ prend un tour infiniment plus personnel et intime...

Yvonne,probablement dans les années 50

Yvonne Marie Elisa GUERIN (1920-2010) est ma grand-mère paternelle. Elle est la seule de mes 4 grands-parents que j’ai bien connu. En effet mes grands-pères sont décédés avant ma naissance en 1966 et 1968, et ma grand-mère maternelle est décédée en 1982 alors que je n’avais que 7 ans et demi et son souvenir est flou pour moi.

Quand ma grand-mère est décédée en 2010, j’avais écrit ce texte sur le blog que je tenais à l’époque, je vous le livre tel que je l’avais écrit ce 19 juillet 2010.


1920-2010 : ma grand-mère est partie durant son sommeil dans la nuit de vendredi à samedi et je ne lui ai jamais dit je t'aime.

Dans la famille, ces choses là ne se disent pas...

Elle ne m'a jamais raconté grand-chose, tout ce que je sais, je l'ai saisi au vol quand j'allais la voir, une bribe par ci, un bribe par là... Mais ces bribes mises bout- bout m'ont appris à la connaître, à la comprendre...

Elle n'a pas vraiment eu une vie facile...

Elle a 9 ans quand son père décède, sa maman n'est pas vraiment une "tendre".

Elle est élevée "à la dure" : on ne pleure pas, on ne montre pas ses sentiments, on obéit...

Alors qu'elle était enfant, elle était dans la jardin, il faisait chaud, elle a retroussé ses manches : elle s'est fait réprimander car on ne montre pas ses bras, c'est incorrect.

1941 : elle épouse mon grand-père, ce n'est pas un mariage de sentiments mais un mariage de raison, un mariage arrangé, elle n'a pas eu le choix.

Mon grand-père devait en épouser une autre en 1939 mais ça ne s'est pas fait à cause de la guerre, il épousera donc ma grand-mère en 1941.

1942 : naissance du 1er enfant (mon père) : c'est bien, c'est un garçon, il est robuste, c'est toujours utile un garçon à la ferme.

1944 : naissance d'un autre garçon. Dès la naissance, il est malade, fragile. Il décédera à 9 mois. Mon grand-père n'en fait pas grand cas... Ma grand-mère, comme on le lui a éduqué, ne montre pas son chagrin, on ne pleure pas, on cache ses sentiments...

Années 40/50 : c'est encore l'époque des veillées chez les voisins, on y va à pied, il y a 1 ou 2 km à parcourir, ma grand mère est enceinte, mon grand-père ne lui donne même pas le bras...

D'autres enfants suivront, ils seront 6 en tout. Mon arrière grand-mère (mère de mon grand-père) le lui reprochera : ça fait trop, ça divise l'héritage ! Comme si elle en était seule responsable... Mon arrière grand mère de laquelle j'ai toujours eu peur jusqu'à son décès en 1983 à l'âge honorable de 93 ans, c'était une vraie méchante celle-là!

1962 : naissance de la "petite dernière", là, c'est mon père qui le voit d'un mauvais œil : il a 20 ans, il part à l'armée pour 18 mois, son père est déjà malade : qui va l'élever ?

1966 : le grand-père meurt... ses enfants ont 24, 21, 20, 14, 12 et 4 ans.

Ma grand-mère s'occupe alors de la ferme l'aide de mon père. Elle traira ses quelques vaches, à la main, jusqu'au milieu des années 80 !

1983 : décès de l'arrière-grand-mère : son fils unique (mon grand père) étant décédé, c'est mon père qui avait été nommé curateur. A son décès, 3 des frères et sœur accusent mon père et ma grand-mère de s'en être mis pleins les poches sur le dos de l'arrière grand-mère... c'est la sécession. Les ponts sont coupés... Ma grand-mère ne verra plus que 5 de ses 11 petits enfants et 3 de ses enfants.

Années 90 : un de mes oncles divorce, ses 3 enfants rejettent la famille en bloc y compris la grand-mère qui n'y est pourtant pour rien... Reste 2 petits enfants (mon frère et moi) et les 2 filles de la "petite dernière" nées entre temps.

1996 : une cousine de mon âge décède : ce drame permettra à mon oncle de renouer le lien et nous (mon frère et moi) de connaître notre tante.

1998 : mon oncle (le divorcé) décède : ma grand mère ne pleure pas, on ne lui a jamais appris à pleurer, à montrer ses sentiments. Elle est touchée, cela se sent mais elle ne pleure pas...

2000 : la tante que nous apprenions à connaître décède, mon oncle se retrouve seul et se rapproche considérablement de sa mère.

Début 2005 : la fille aînée de ma grand mère décède, je ne la connaissais plus, pas vue depuis le début des années 80... Ma grand-mère assiste à ses obsèques malgré toutes les horreurs qu'elle aura pu lui dire (aussi méchante que l'arrière grand mère celle-là !), c'est sa fille après tout...

Été 2005 : ma tante (la petite dernière) organise un rassemblement des cousins et cousines avec ma grand-mère : on est presque tous là, on apprend à se connaître, ce n'est pas facile à 30 ans passés, ma grand-mère est contente, elle revoit ses petits enfants, elle rencontre ses arrières petits enfants. Heureuse ? Je ne suis pas sûre qu'elle sache ce que cela veut dire... Mais ce sera sans suites...

Courant 2009, elle exprime le souhait d'aller en maison de retraite mais il faut attendre qu'une place se libère...

Février 2010 : elle rentre à la maison de retraite, il était temps, mon père s'épuisait à aller la voir à chaque repas pour s'assurer qu'elle mange...

Depuis, elle avait rajeuni ! La vie en collectivité lui réussissait. Dans sa maison, elle était très souvent seule, elle ne conduisait plus depuis un an ou deux. Là, elle voyait du monde en permanence, elle avait des activités...

Mercredi 14 juillet : elle était en famille avec mes parents, mon oncle, ma tante... Elle était souriante (heureuse ?).

Vendredi 16 juillet : la journée se passe normalement, elle a bon appétit.

Samedi 17 juillet : l'infirmière entre dans sa chambre pour l'aider à faire sa toilette, elle semble dormir, elle ne se réveillera plus...

Et moi je pleure...

Elle était parfois rude, revêche... Elle n'avait rien des grand-mère d'images d'Épinal... Elle n'a jamais eu de mots tendres, je ne me souviens pas qu'elle ait eu des gestes tendres... Mais on ne lui avait jamais appris, jamais permis : ni avec sa mère durant son enfance, ni avec son mari, ni après le décès de son mari...

Mais je l'aimais quand même... Mais je ne lui jamais dit...


Avec ma fille aînée en 2006.



Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre Y :

Seulement 3 prénoms féminins commencent par un Y dans ma généalogie : j’ai 8 Yvonne, 3 Yvette et 1 Yolaine.

mercredi 28 juin 2017

#ChallengeAZ - X comme née sous X

X comme née sous X

J’ai de nombreux enfants sans père dans ma généalogie mais je n’ai découvert (pour l’instant) que 2 enfants de parents inconnus, un garçon né à Rouen (Seine-Maritime) en 1820 et une fille née à Falaise (Calvados) en 1787.

Véronique Désirée (un comble de se nommer Désirée pour une enfant abandonnée...) est baptisée dans la paroisse Sainte Trinité de Falaise le 16 janvier 1787.

Comme cela se faisait à l’époque, elle est probablement placée en nourrice et c’est au Repas (Orne) qu’elle épouse à 25 ans en 1812 François LANGE du même âge qu’elle.

Sa fille Marie Françoise Florentine LANGE, mon ancêtre, naît le 10 août 1831 à Sainte-Honorine-la-Guillaume. Malgré des recherches intensives dans toutes les communes alentours, je n’ai trouvé aucun autre enfant pour ce couple.

Véronique Désirée décède le jour du 6e anniversaire de sa fille le 10 août 1837 à l’âge de 50 ans.



La fiche Genenanet de Véronqiue Désirée.


L’arbre :

Véronique Désirée (1787-1837) – sosa 203

Marie Françoise Florentine LANGE (1831-1911) - sosa 101
Ferdinand Gaston POTTIER (1866-1933) – sosa 50
Marie Augustine Emilienne POTTIER (1889-1983) – sosa 25
André Pierre Marius LABAUME (1912-1966) – sosa 12
Mon papa - sosa 6
Moi – sosa 3
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Un des grands mystères de mon arbre :

1812 : mariage – 1831 : un enfant : que s’est-il passé pendant ces 29 ans ? Ont-ils déménagé très loin et fait d’autres enfants ailleurs ? Où n’y-a-t-il aucun autre enfant ?

Le seul moyen pour le découvrir serait, je pense, de consulter les archives notariales pour essayer de trouver les successions de Véronique Désirée et de son mari.

Une virée aux archives à Alençon s’imposera (un jour...)

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre X :

mardi 27 juin 2017

#ChallengeAZ - W comme Who ? Where ? When ? Why ?

Yes, for the letter W, I speak english !! Enfin pas trop longtemps quand même !

Bref un moyen détourné car aucun prénom commençant par la lettre W n’est présent dans ma généalogie.

Who ? Catherine COMBES née je ne sais ni où ni quand, décédée je ne sais ni où ni quand !

Where and when ?
Londres, 6 juillet 1770 : date de naissance de son fils Joseph DUGLIN, enfant naturel de Joseph DUGLIN, cuisinier de vaisseau puis Paris, 27 novembre 1770 date à laquelle elle abandonne son fils.

Why ? That is the question ! Que faisait-elle à Londres en 1770 ? Quelle était la relation exacte entre elle et Joseph DUGLIN père ? Pourquoi l’avoir abandonné à Paris ? Beaucoup de questions !!



La fiche Geneanet de Catherine COMBES.


L’arbre :

Catherine COMBES ( ?- ?)
Joseph DUGLIN (1770-1840)
Cornélie Aglaé DUGLIN (1812-1886)
Louis Léopold PAUMELLE (1845-1919)
Philomène Marie Léopoldine PAUMELLE (1889-1961)
André Ferdinand Charles Édouard TALBOT (1915-1985)
La belle-mère de mon mari
La petite sœur de mon mari
Mon neveu


Résumé de ce que je sais : Joesph DUGLIN est décédé le 10 octobre 1840 au Havre, il y est dit né à Londres et fils naturel de Joseph DUGLIN et Catherine COMBES.

Il s’est marié au Havre le 24 ventôse an V (14 mars 1797) avec Catherine Véronique LEBER.

Sur cet acte de mariage, il est indiqué qu’il est « fusilier de la première compagnie du quatre vingt douzième régiment ci-devant Walch, né le 6 juillet 1770, baptisé à l’hôpital de Londres et nommé le 27 novembre suivant en la paroisse des enfants trouvés de Paris, département de la Seine », qu’il est « en garnison en cette commune avec son dit régiment depuis 14 mois au quartier militaire » et il est indiqué que son père est « cuisinier de vaisseau ». Les 5 témoins font partie du même régiment : un lieutenant, un fusilier, 2 caporaux et un sergent. Son épouse a 25 ans et est orpheline.

Grâce à un gentil twittos (merci Manuel), j’ai une copie de sa fiche d’enfant abandonné : j’y apprends qu’il a été baptisé protestant à l’hôpital de Londres et qu’il est confié à sa mère ! Pourquoi l’abandon s’il est confié aux soins de sa mère ??

J’ai écrit aux archives anglaises pour savoir s’il y avait moyen de récupérer son acte de baptême, réponse « within 10 working days ».

J’ai aussi écrit au service historique de la Défense pour voir s’il y avait moyen de retracer le parcours militaire de Joseph.

So, wait and see !


Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre W :

Aucun prénom dans ma base ne commence par la lettre W.

Vous trouverez ici la récapitulation de tous les articles publiés pendant ce challenge AZ 2017.

lundi 26 juin 2017

#ChallengeAZ - V comme Victoire

V comme Valérie, Véronique, Victorine, Virginie... ou encore Victoire.


Victoire Angélique LEPORTIER voit le jour le 20 septembre 1770 à Bellou-en-Houlme dans l’Orne. Elle est la fille de François LEPORTIER et Anne Renée Andrée LEGOHEREL qui se sont marié le 2 septembre 1760. Je ne connais pas d’autres enfants pour ce couple.

Son père décède à 44 ans le 22 juillet 1785, elle a à peine 15 ans.

Le 11 messidor an III (29 juin 1795), elle épouse Jean GELIN, le fils de Jean Barthélémi GELIN et de Catherine GRAINDORGE.

En 1796, elle perd sa mère qui décède à l’âge de 66 ans.

8 enfants naissent de leur union : Catherine Louise (1796), Marie (1797), Françoise Victoire (1799), Victoire Marie (1800), Charlotte (1802), Anne (1803), Jean François (1805) et François (1807).

Son époux décède le 27 juillet 1817 à 43 ans. Elle lui survit 10 ans et s’éteint à son tour le 16 avril 1827 à l’âge de 56 ans.


La fiche Geneanet de Victoire Angélique LEPORTIER.

L’arbre :

Victoire Angélique LEPORTIER (1770-1827) – sosa 243
Charlotte GESLIN (1802-1873) – sosa 121
François Étienne ROBET (1839-1894) – sosa 60
Jules Gustave ROBET (1872-1939) – sosa 30
Susanne Marie Mathilde Juliette ROBET (1906-1982) – sosa 15
Ma maman - sosa 7
Moi – sosa 3
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Comme souvent dans les branches de mes parents, il me manque quelques sources pour confirmer mes données. Un gros travail de consolidation est là aussi à faire.

En écrivant cet article, je suis allée sur Geneanet pour confronter mes données et certaines info sont contradictoires avec les miennes (par ex. la date de décès de sa mère, la date de son mariage...), donc des vérifications s’imposent !

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre V :

Le prénom féminin commençant par V le plus répandu est Victoire avec 53 utilisations. Virginie vient ensuite en apparaissant 16 fois. Véronique et Victorine se partage la 3e marche du podium avec 8 porteuses. Et c’est Vitaline avec 4 apparitions qui complète le top 5.

samedi 24 juin 2017

#ChallengeAZ - U comme Ursule

U comme Useline... ou encore Ursule.


Pascaline Ursule LEVESQUE est née le 23 septembre 1830 à Saint Léonard en Seine-Maritime. Elle est la 4e fille de Jacques Guillaume LEVESQUE et de Rose Angélique BRINDEL.

Ses sœurs sont Rose Bibienne née en 1820, Ortense Adélaïde née en 1825, Eugénie Eloïse née en 1827 et Julie Victorine née en 1836.

Sa sœur Eugénie Eloïse se marie en 1848 aux Loges (Seine-Maritime) avec Placide Léon LEMAISTRE.


La fiche Geneanet de Eugénie Eloise LEVESQUE.

L’arbre (de sa sœur Eugénie!) :

Eugénie Eloïse LEVESQUE (1827-1882)
Marie Julie LEMAISTRE (1863- ?)
Philomène Marie Léopoldine PAUMELLE (1889-1961)
André Ferdinand Charles Edouard TALBOT (1915-1985)
La belle-mère de mon mari
La petite sœur de mon mari
Mon neveu

Pour aller plus loin :

Il s’agit de la branche de la belle-mère de mon mari mais que mes filles appellent « mamie ». Recherches récentes bien documentées.

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre U :

Uniquement 2 prénoms commençant par U sont présents dans ma généalogie, chacun apparaissant une seule fois en 2e prénom : Useline et Ursule.

Vous trouverez ici la récapitulation de tous les articles publiés pendant ce challenge AZ 2017.

vendredi 23 juin 2017

#ChallengeAZ - T comme Thérèse

T comme Théodorine, Thomasse, Tiphaine... ou encore Thérèse.


Thérèse JOACHIM a vécu au XVIIIe siècle. Elle est mariée à Pierre LEMARIÉ. Ils sont les parents de Rose LEMARIÉ née vers 1762 et décédée en 1836 à Appeville Annebault dans l’Eure.

Voilà tout ce que je sais de Thérèse...


La fiche Geneanet de Thérèse JOACHIM.

L’arbre :

Thérèse JOACHIM ( ?- ?) – sosa 1343 
↓ 
Rose LEMARIÉ (ca 1762-1836) – sosa 671 
↓ 
Marie Marguerite LONGUEMARRE (1795-1868) – sosa 335 
↓ 
Madeleine Désirée COUTURIER (1819-1880) – sosa 167 
↓ 
Alphonsine Désirée DUPEC (1848-1898) – sosa 83 
↓ 
Ernestine Emma HEBERT (1877- ?) – sosa 27 
↓ 
Henri Georges Maurice DESHAYES (1910-1968) – sosa 20 
↓ 
Le grand-père de mon mari – sosa 10 
↓ 
La mère de mon mari - sosa 5 
↓ 
Mon mari – sosa 2 
↓ 
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Il s’agit là de mes découvertes récentes pour lesquelles je n’ai pas encore eu le temps d’aller plus loin.
Une branche en friche donc où tout est à découvrir !

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre T :

Seulement 4 prénoms féminins commençant par la lettre T sont présents dans mon arbre. Thérèse est le plus répandu en apparaissant 21 fois (plus 2 fois dans le prénom composé Marie-Thérèse), suit Tiphaine qui apparaît 3 fois. Et enfin, Théodorine et Thomasse sont utilisés chacun une fois.

Concernant Tiphaine qui pourrait sembler être le plus moderne des prénoms, il est effectivement le 3e prénom d’une de mes cousines née en 1991 mais pour les 2 autres, il appartient à 2 très lointaines ancêtres ayant vécu fin XIVe / début XVe siècle !

jeudi 22 juin 2017

#ChallengeAZ - S comme Susanne

S comme Sainte, Scolastique, Séraphine, Simone, Sophie... ou encore Susanne.


Susanne DELOZIER voit le jour le 16 mars 1734 à Athis de l’Orne sous le règne de Louis XV. Elle est la fille de Mathieu DELOZIER né en 1694 et de Marie BELLANGER née en 1701 qui se sont marié en 1724. Je ne connais pour l’instant pas d’autre enfant pour ce couple.

Le 2 octobre 1759 à Athis de l’Orne, elle épouse Louis HUET fils de Louis HUET et de Catherine RESTOUT.

Ils ont 11 enfants : les jumelles Catherine et Anne Susanne en 1760, les jumeaux Marie Susanne Louise et Louis François en 1764, Pierre Jacques en 1766, Jean en 1768, Susanne Catherine en 1770, Pierre Jacques en 1772, François en 1773, André Pierre en 1774 et François en 1780.

Susanne DELOZIER décède à Athis de l’Orne le 12 mars 1790 à l’âge de 55 ans.


La fiche Geneanet de Susanne DELOZIER.

L’arbre :

Susanne DELOZIER (1734-1790) – sosa 885
André Pierre HUET (1774-1829) – sosa 442
Anne HUET (1819-1887) – sosa 221
Louis HUSNOT (1839-1900) – sosa 110
Mélina AngèleHUSNOT (1873-1921) – sosa 55
Louis Marie LECORNU (1893-1952) – sosa 27
Yvonne Marie Elisa GUÉRIN (1920-2010) – sosa 13
Mon papa – sosa 6
Moi – sosa 3
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Comme pour le reste des données découvertes aux débuts de mes recherches, je n’ai pas noté les sources de mes infos.

Un gros travail va donc être de vérifier et « sourcer » toutes ces données. C’est un travail que j’ai commencé pour le XIXe siècle pour lequel les recherches dans les archives en ligne sont plus aisées.

Il me faudra reconstituer l’éventuelle fratrie de Susanne. Par ailleurs, plusieurs de ses enfants portent les mêmes prénoms, c’est bien souvent le signe que le premier est décédé, je devrais parcourir les registres pour essayer de confirmer cette présomption.

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre S :

Le prénom le plus répandu dans ma généalogie est Suzanne (parfois écrit Susanne), il apparaît 29 fois Loin derrière apparaissent Sylvie (6 fois) et Sophie (4 fois). Au pied du podium, Simone et Sandrine apparaissent 3 fois.

Vous trouverez ici la récapitulation de tous les articles publiés pendant ce challenge AZ 2017.

mercredi 21 juin 2017

#ChallengeAZ - R comme Reine

R comme Renée, Rose, Rosalie, Raoulette, Raymonde, Roberte... ou encore Reine.


Reine Joséphine CALLAIS voit le jour le 5 janvier 1808 à Brestot (Eure). Elle st la fille de Laurent Benoit CALLAIS, sabotier âgé de 36 ans, et de Marie Anne LAMBERT âgée de 27 ans.

A sa naissance, elle a pour frères et sœurs : Marie Reine (1793), Jacques Laurent (1795), Louis Pierre (1797), Jean Baptiste (1799), Paul Thomas (1802) issus du 1er mariage de son père avec Marie Reine RENARD (1770-1803) et Marie Anne Rose (1806). Elle a un petit frère Richard Delphin en 1810.

Alors qu’elle n’a que 5 ans, sa mère Marie Anne LAMBERT décède à l’âge de 33 ans.

Un mois avant avant son 8ème anniversaire, le 2 décembre 1815, son père se remarie à Appeville-Annebault avec Madeleine PELLERIN. De cette union, naît Laurent Adolphe en 1816.

Elle grandit à Brestot et le 4 novembre 1830 à 22 ans, elle y épouse Pierre Tranquille CALLAIS âgé de 25 ans fils de Jean Baptiste Pierre Michel CALLAIS et de Marie Andrée LECUYER.

Leur premier enfant Pierre Augustin naît le 10 mars 1831, il décède 13 jours plus tard le 23 mars.

Désirée Joséphine naît le 31 mars 1832, suit Marie Henriette le 9 avril 1834 et enfin Altimère Joséphine le 24 novembre 1835.

Sa fille Marie Henriette décède à l’âge de 5 ans le 16 mai 1839.

Son père Laurent décède le 11 mars 1847 à 75 ans.

Le 25 avril 1850, sa fille aînée Désirée Joséphine épouse à tout juste 18 ans Alphonse Désiré LEVITRE, couvreur en paille âgé de 21 ans.

Le 4 novembre 1858, c’est au tour de sa fille Altimère Joséphine, 22 ans, d’épouser Benoit Optat CALLAIS.

Entre 1850 et 1865, elle verra la naissance de ses 7 petits enfants, 5 chez Désirée et 2 chez Altimère.

Reine Joséphine CALLAIS s’éteint le 21 mais 1881 au hameau de Mouillecrôte à Brestot à l’âge de 73 ans.


La fiche Geneanet de Reine Joséphine CALLAIS.

J'avais rencontré son père lors du #RDVAncestral de mai.

L’arbre :

Reine Joséphine CALLAIS (1808-1881) – sosa 139
Désirée Koséphine CALLAIS (1832- ?) – sosa 69
Henri Désiré LEVITRE (1865->1920) – sosa 34
Marie Antoinette Albertine LEVITRE (1892- ?) – sosa 17
Bernard Henri Marie CARRIÉ (1925-2017) – sosa 8
Le père de mon mari – sosa 4
Mon mari – sosa 2
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Beaucoup de CALLAIS se croisent dans cette famille, je n’ai pas encore l’occasion et le temps de vérifier s’il y avait des ancêtres communs entre ces familles.

Nous avons donc Reine qui épouse un CALLAIS, sa fille qui épouse aussi un CALLAIS mais j’ai également trouvé que son arrière grand père CALLAIS avait lui aussi épousé une CALLAIS...

De belles recherches encore en perspective !

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre R :

Seuls 8 prénoms féminins commençant par la lettre R sont présents dans ma généalogie.

Le plus utilisé est Renée avec 57 apparitions, suit Rose (30 fois) et Rosalie (16 fois). Au pied du podium se trouve Reine avec 7 utilisations. Avec 1 apparition chacune, Raoulette, Raymonde, Roberte et Rosa ferment ce classement.

mardi 20 juin 2017

#ChallengeAZ - Q comme... Qui je veux!

Q comme ….. rien du tout !! Point de Quiterie dans mon arbre...

Réfléchissons, Quiterie est fêtée le 22 mai. Le 22 mai, on fête aussi les Amélie ou les Émilie.
Partons donc à la recherche d’une Émilie ou d’un de ses dérivé...

Et je trouve : Marie Augustine Émilienne POTTIER, la seule de mes ancêtres directes portant ce prénom mais il n’apparaît qu’en 3e position sur son état civil.

Il s’agit là de mon arrière-grand-mère paternelle.

Elle est née le 14 août 1889 à Sainte-Honorine-la-Guillaume dans l’Orne. Elle est la fille de Ferdinand Gaston POTTIER et Léontine Florentine LEPLANOIS qui se sont mariés le 5 février 1888 à Ségrie-Fontaine. Elle est leur première née. Dans la vie quotidienne, elle sera appelée Augustine.

Suivront Marie Claire Émilienne (appelée Claire) en 1891, Marie Alice Céline en 1895 (appelée Céline), Eugène Albert en 1897 (appelé Albert), Juliette Eugénie Germaine en 1900 (elle décède en 1903), Marius Paul Émile et Marie Louise Germaine pour lesquels je ne connais pas la date de naissance.

Augustine devient domestique.

Le 2 décembre 1911 à La Carneille, elle épouse Jean LABAUNE originaire de Sâone-et-Loire qui, selon l’histoire familiale, a pris les fonctions de garde-particulier au château du Bois-André situé sur la commune de La Carneille.

Je m’interroge beaucoup sur ce mariage : Jean LABAUNE n’a apparemment jamais mis les pieds dans l’Orne avant fin septembre 1911, date de sa libération du service militaire. Ses parents se sont brièvement installé à La Carneille. D’après mes recherches, ils sont arrivés entre octobre 1910 et mars 1911 et repartis avant 1914.

Au recensement de mars 1911, c’est son père qui avait la charge de garde-particulier au château du Bois-André.

Est-ce que ce sont ses parents qui ont arrangé ce mariage ? Est-il venu en permission en cours d’année pour rencontrer sa « promise » ?

Augustine et Jean n’ont qu’un seul enfant, mon grand-père paternel, André Pierre Marius né en 1912.

Ce dernier épouse ma grand-mère Yvonne Marie Elisa GUERIN le 22 septembre 1941 et là, je sais de source sûre que c’est un mariage arrangé...

Augustine perd son fils unique André le 26 mai 1966 et son époux Jean moins d’un an plus tard le 24 avril 1967.

Ma « mémère Gustine » décède le 5 janvier 1983 au bel âge de 93 ans.

Née en 1974, j’ai quelques souvenirs de mon arrière-grand-mère et le personnage m’effrayait... Je crois qu’on peut la placer dans la catégorie des « méchantes ».

J’ai aussi bien connu sa « petite » sœur, « tante Claire », elles étaient toutes 2 dans la même maison de retraite. Autant j’avais peur de l’une, autant j’adorais la douceur, la gentillesse et la bienveillance de l’autre.

D’ailleurs, à chaque visite à la maison de retraite, mon frère et moi, nous nous serions bien passé de la visite à la première pour aller voir la deuxième ! Mais la consigne de nos parents était claire : « Si vous voulez aller voir tante Claire, il faut d’abord aller dire bonjour à mémère Gustine ! ».

Tante Claire a survécu à sa sœur et s’est éteinte le 8 septembre 1997 à 106 ans et 3 mois. Pas mal pour quelqu’un dont le médecin, vers ses 40 ans, avait détecté une maladie de cœur et prédit une fin rapide...

Et là, j’ai envie de vous parler un peu de ma tante Claire, née le 30 ami 1891.

Elle épouse en 1918 Jules Ernest PAPIN. Il n’ont pas d’enfants. Veuve en 1947, elle se remarie en 1948 à l’âge de 56 ans avec Achille Robert LEPORTIER âgé de 52 ans. Elle sera de nouveau veuve en 1965.

Elle est domestique, comme sa sœur.

Et elle « monte » servir à Paris, et là-bas, elle aura l’occasion de servir Raymond Poincaré. Sa grande fierté : elle racontait qu’un jour où elle lui servait le café, celui-ci lui avait fait poser son plateau et demander de boire un café avec lui. Je ne sais malheureusement pas bien à quelle époque c’était, si c’était pendant son mandat de président de la République (1913-1920) ou plus tard.

Jusqu’à la fin de sa vie, elle a gardé toute sa tête, il fallait juste parler un peu fort pour qu’elle nous entende. Elle savait poser les questions à bon escient à mon père agriculteur : au printemps si les semences s’étaient bien déroulées, l’été si la récolte de blé était bonne, à l’automne si les pommiers donneraient du bon cidre...

En 1991, une petite fête avait été organisée à l’occasion de son centenaire et elle avait eu le privilège d’un article dans le journal local.

Voilà, cette lettre Q se résumera donc à « Qui je veux !! »


L’arbre :

Marie Augustine Emilienne POTTIER (1889-1983) – sosa 25
André Pierre Marius LABAUME (1912-1966) – sosa 12
Mon papa - sosa 6
Moi – sosa 3
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

J’aimerai un jour démêler les circonstances de l’arrivée de mon arrière-grand-père en Normandie..

J’en avais déjà parlé dans ces 2 articles :
- L'histoire familiale et la réalité
- L'histoire familiale et la réalité – la suite

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre Q :

Comme expliqué au début de cet article, c’est le néant pour cette lettre là !!


Vous trouverez ici la récapitulation de tous les articles publiés pendant ce challenge AZ 2017.

lundi 19 juin 2017

#ChallengeAZ - P comme Pierrette

P comme Prudence, Philippine, Pascale, Perrine, Pauline, Palmire... ou encore Pierrestte.


Pierrette JANIAUD voit le jour le 19 fructidor an II (5 septembre 1794) à Lugny-lès-Charolles en Saône-et-Loire.

Elle est la fille de François JANIAUD, tailleur de pierre et de Jeanne VITURET, cultivatrice.

Ces derniers se sont mariés à Lugny-lès-Charolles le 7 février 1786.

Elle a pour frères et sœurs : Marie née en 1786, Pierre né en 1788, Jacqueline née à la date emblématique du 14 juillet 1789, Laurent né en 1790, Nicolas né en 1792 et Jean Marie né en 1797.

Elle épouse Louis RENAND (ou RENON), garde particulier, le 1er octobre 1817 dans sa commune de naissance.

Ils vont avoir 8 enfants :

Jean (1818 décédé à 6 mois), Charlotte (1819), Marie (1821), Pierre (1822), Marguerite (1825), Jeanne Marie (1826), Pierre (1827) et Françoise (1830).

Elle perd sa mère Jeanne VITURET âgée de 60 ans le 11 mai 1826 et son père François Marie JANIAUD âgé de 67 ans pile 2 ans plus tard le 11 mai 1828.

Son époux Louis décède le 17 novembre 1871, il a 74 ans.

Pierrette s’éteint à l’âge de 84 ans le 17 juillet 1879.


La fiche Geneanet de Pierrette JANIAUD.





L’arbre :

Pierrette JANIAUD (1794-1879) – sosa 195
Charlotte RENAND (1819-1882) – sosa 97
André LABAUNE (1855- ?) – sosa 48
Jean LABAUNE (1888-1967) – sosa 24
André Pierre Marius LABAUME (1912-1966) – sosa 12
Mon papa – sosa 6
Moi – sosa 3
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Ah ! Ma branche bourguignonne, la branche à laquelle je dois mon nom de naissance, ce nom qui n’était porté que par ma famille dans ma Normandie natale, je me sentais unique !

Je me suis sentie nettement moins unique quand le sort a voulu que je m’installe quelque temps en Bourgogne pour mon premier travail !

Il me manque a priori rien sur Pierrette, j’ai sa naissance, son mariage, ses enfants, son décès... Il me manque tout de même quelques sources, notamment son acte de naissance et ceux de tous ses frères et sœurs. Il en est de même pour son époux.

J’ai récupéré quelques données sur Geneanet, apparemment une autre de ses filles aurait épousé un LABAUNE, il faudra que je vérifie s’il s’agit bien du frère de l’époux de Charlotte.

Donc quelques vérifications s’imposent... Encore du travail en perspective !

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre P :

Perrine est en tête des prénoms féminins commençant par la lettre P avec 12 utilisations. Suivent Pauline (9 fois) et Prudence (7 fois). Au pied du podium, Pierrette avec 3 porteuses. Ensuite avec 2 utilisations chacune, viennent Paulette, Petronille et Pulcherie.

samedi 17 juin 2017

#ChallengeAZ - O comme Odette

O comme Opportune, Odile, Octavie, Orélie, Ortense, Onésine.... ou encore Odette.


Odette Andrée Julienne RECULARD est née le 29 avril 1906 à Épaignes dans l’Eure. Son père Maurice Julien RECULARD est cultivateur et sa mère Rosa Louise Adrienne LEFEBVRE est domestique. Ils se sont mariés le 12 avril 1904.

Odette est l’aînée d’un fratrie de 4, suivront Julien Maurice Albert en 1908, Maurice Julien Albert en 1910 (il décède à 12 jours) et Marcel Émile Maurice en 1911 (il décède à l’âge d’à peine 2 mois).

Le 29 novembre 1933 à Saint-Germain-Village, elle épouse Henri Georges Maurice DESHAYES, commerçant de 23 ans fils de Léon Henry DESHAYES marchand fruitier et de Ernestine Emma HEBERT.

Elle a au moins 1 enfant, le grand-père de mon mari né en 1936.

Son époux Henri DESHAYES décède le 27 janvier 1968 à Pont-Audemer (Eure) à seulement 57 ans.

Elle décède à Grugny (Seine-Maritime) le 14 février 1985 à l’âge de 78 ans.


La fiche Geneanet de Odette Andrée Julienne RECULARD.


L’arbre :

Odette Andrée Julienne RECULARD (1906-1985) – sosa 21
↓ 
Le grand-père de mon mari – sosa 10
↓ 
La mère de mon mari - sosa 5
↓ 
Mon mari – sosa 2
↓ 
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Les données concernant sa descendance sont très parcellaires. Il faudrait que j’arrive à interroger le grand-père de mon époux pour savoir s’il a des frères et des soeurs.

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre O :

Seulement 7 prénoms commençant par la lettre O sont présents dans ma généalogie et pour chacun d’eux, une seule utilisation : Octavie, Odette, Odile, Onésine, Opportune et les très surprenants Orélie et Ortense.

Vous trouverez ici la récapitulation de tous les articles publiés pendant ce challenge AZ 2017.

vendredi 16 juin 2017

#ChallengeAZ - N comme Nicole

N comme Noémie, Noëlle, Nathalie... ou encore Nicole.


Nicole BAIN naît aux alentours de l’année 1720 de Jean BAIN et Marguerite BARBÉ.

Le 9 janvier 1736 à La Carneille, elle épouse Pierre BOSMER avec lequel elle a au moins un enfant, Nicolas né en 1740.

Son époux meurt prématurément et elle se remarie le 13 novembre 1747 avec Julien PECHET âgé de 23 ans. Ils auront au moins 3 enfants : Julien Jacques en 1749, Pierre en 1751 et Marie Françoise Perrine en 1756.

Sa fille se marie le 7 juillet 1778 avec Pierre DUVAL et son fils Julien Jacques épouse Marie LONGUET le 4 février 1779.

Son époux Julien décède le 2 décembre 1783 à 59 ans, elle décède quelques jours plus tard, le 19 décembre à l’âge de 63 ans.


La fiche Geneanet de Nicole BAIN.


L’arbre :

Nicole BAIN (ca 1720-1783) – sosa 863
Marie Françoise Perrine PECHET (1756-1822) – sosa 431
Marie Madeleine DUVAL (ca 1791-188) – sosa 215
Madeleine Joséphine GAUQUELIN (1822-1894) – sosa 107
Virginie Augustine HALBOUT (1854-1926) – sosa 53
Léopold Firmin GUERIN (1890-1929) – sosa 26
Yvonne Marie Elisa GUERIN (1920-2010) – sosa 13
Mon papa – sosa 6
Moi – sosa 3
Mes filles – sosa 1



Pour aller plus loin :

Ces recherches datent de mes débuts en généalogie et à l’époque, je ne notais pas toutes mes sources, j’en ai quelques une mais c’est très épisodique...

Un gros travail va donc être de vérifier et « sourcer » toutes ces données.

Il me faut découvrir la date exacte de naissance de Nicole, ses éventuels frères et sœurs et tout ce qui concerne ses parents.

Je dois aussi trouver la date de décès de son premier mari et voir si d’autres enfants sont nés aussi bien pour sa première que pour sa deuxième union.

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre N :

Peu de prénoms commençant par la lettre N dans ma généalogie, seulement 5.
En tête et à égalité avec 7 utilisations, Nathalie et Nicole (sous toutes les graphies possibles pour ces 2 prénoms : Natalie ou Nicolle par exemple). Suit Noëlle avec 3 apparitions. Noémie et Nadia ferment le classement avec 1 utilisation chacune.

jeudi 15 juin 2017

#ChallengeAZ - M comme Marguerite

M comme Marie, Madeleine, Marcelle, Marianne, Marthe, Mélanie.... ou encore Marguerite.


Marguerite Joséphine THIBOUVILLE est née à Éturqueraye (Eure) le 7 juin 1815. Elle est l’enfant naturelle de Marie Armande THIBOUVILLE journalière âgée d’environ 24 ans. En 1823, naît son frère, lui aussi naturel, Rémy Alexandre.

Le 3 octobre 1837, elle met au monde un enfant naturel Louis Isidore qui ne survit que 7 jours.

Le 24 septembre 1840 à Éturqueraye, elle épouse Martin Pompée DESMARÉS journalier du même âge qu’elle.

4 enfants naissent de cette union : Arsène Désiré Pompée en 1841, Frédéric Henri en 1846 (qui décède à 8 mois), Polovique Annezine en 1847 et Joséphine Rosalie en 1850.

Le 20 avril 1871, sa fille Joséphine épouse Pierre Édouard Richard COUTURIER à Brestot.

Marguerite verra la naissance des 3 filles de ce couple : Marie Eugénie en 1873, Angelle Albertine en 1876 et Francine Arthémise Alphonsine en 1879.

Marguerite décède, veuve, le 31 août 1897 à Étreville à l’âge de 82 ans.


La fiche Geneanet de Marguerite Joséphine THIBOUVILLE.


L’arbre :

Marguerite Joséphine THIBOUVILLE (1815-1897) – sosa 159
Joséphine Rosalie DESMARÉS (1850- ?) – sosa 79
Marie Eugénie COUTURIER (1873-1963) – sosa 39
Alphonsine Ernestine TROTTIER (1901-1985) – sosa 19
La grand-mère de mon mari – sosa 9
Le père de mon mari – sosa 4
Mon mari – sosa 2
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Marguerite est un des nombreux enfants naturels de ma généalogie. Sa mère a eu 2 enfants sans père, je n’ai pas encore trouvé son décès pour confirmer si elle est restée célibataire ou si elle s’est un jour mariée et a pu avoir d’autres enfants.

Marguerite a eu à son tour un enfant naturel avant de convoler avec Martin DESMARÉS.

Marguerite est décédée veuve mais je n’ai pas encore trouvé le décès de son mari.

Il me reste aussi à découvrir le décès de sa fille Joséphine Rosalie mais il a du intervenir en début de XXe siècle et n’est probablement pas encore en ligne.

Marguerite est une ancêtre de mon mari et, recherche récente oblige, je n’ai pas encore eu l’occasion de chercher avant la révolution.

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre M :

Marie est, sans surprise, le prénom féminin commençant par la lettre M le plus utilisé. Il apparaît 665 fois (plus une dizaine de fois dans des prénoms composés). Suit Marguerite (parfois orthographié Margueritte) avec 155 utilisations.
Madeleine (sous toutes ses formes : Magdeleine, Magdelaine, Madelaine...) complète le podium avec 136 porteuses.
Au pied du podium, nous trouvons Michelle (18 fois y compris ses variantes), Marthe (16 fois) et Modeste (10 fois).

mercredi 14 juin 2017

#ChallengeAZ - L comme Léonie

L comme Louise, Laurence, Lucie, Liliane, Léonore.... ou encore Léonie.


Léonie Hortense HECQUARD voit le jour dans la Manche à Saint-Denis-le-Gast le 6 septembre 1875.

Elle est la septième enfant d’une fratrie de 12.

Son père Auguste Désiré HECQUARD est domestique et est né en 1831. Sa mère Florentine Joséphine ALLIX est née en 1836. Ils se sont mariés le 24 juin 1858 à Saint-Denis-le-Gast.

Les frères et sœurs de Léonie sont : Édouard Albert (1859), Marie Angelina (1861), Florence Augustine (1863), Ferdinand Émile (1866), Altus Victor (1868), Alfred Émile (1871), Jules Cénérée (1872-1875), Hortense Ernestine (1877), Émile Joseph (1879-1881), Alicia Zélia Élise (1882) et Augustine Marie (1884).

Le 23 novembre 1903 à Coutances, elle épouse Edmond Pierre LEMERRE né à Roncey en 1878.

Ils auront au moins 1 enfant, Léon Auguste LEMERRE né en 1904.

Léonie s’éteindra à lâge avancé de 93 ans le 21 novembre 1968.


La fiche Geneanet de Léonie Hortense HECQUARD.



L’arbre :

Léonie Hortense HECQUARD (1875-1968) – sosa 811
Léon Auguste LEMERRE (1904-ca 1940) – sosa 22
La grand-mère de mon mari – sosa 11
La mère de mon mari - sosa 5
Mon mari – sosa 2
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Il s’agit là encore de la lignée de mon mari. Pour Léonie, je connais les 3 dates « essentielles » à savoir sa naissance, son mariage et son décès.

Pour ce qui est de ses enfants, j’ignore s’il y en a eu d’autres. Je devrai questionner la grand-mère de mon mari pour savoir si elle avait des oncles et tantes du côté de son père.

Je devrai aussi la questionner pour savoir si elle sait où et quand est décédé son grand-père Edmond Pierre LEMERRE.

Pour les parents de Léonie, je connais leurs dates et lieux de naissance et de mariage mais je n’ai pas trouvé trace de leur décès. Ils sont nés dans les années 1830 et peut-être décédé à plus de 60 ans, après 1892 donc.

Mais dans la Manche, les registres disponibles s’arrêtent à 1892 et renseignement pris auprès des archives, la mise en ligne de documents plus récents n’est pas à l’ordre du jour...

Je n’ai plus qu’à attendre leur hypothétique mise en ligne ou alors m’offrir un séjour à Saint Lo aux archives...

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre L :

Le prénom féminin commençant par la lettre L le plus répandu dans mon arbre est Louise apparaissant 67 fois. Loin derrière arrive Laurence et 6 porteuses. Suivent Léonie, Léontine et Léa utilisés chacun 4 fois. Et enfin avec 3 utilisations, arrivent Laure, Léonore et Lucie.

mardi 13 juin 2017

#ChallengeAZ - K comme Catherine

K comme …. ben personne en fait.... Point de Karine ou de Kattie.... Mais Katrine, c’est comme Catherine... Allons-y donc pour Catherine ! J’en ai 122 dans ma généalogie, je vais bien arriver à en trouver une !


Catherine JEHAN est née le 2 février 1756 à Flers (Orne). Son père Pierre JEHAN, sieur des Landes né en 1727 a épousé le 23 janvier 1755 à Flers sa mère Anne, Marie, Thérèse HALBOUT née en 1735.

Elle est l’aînée d’une fratrie de 10 enfants.

Suivront Louis François (1757), Nicolas (1759), Jean Baptiste Nicolas (1760), Pierre François (1762), Pierre François (1764, le précédent étant probablement décédé), Françoise (1767), Louis Jean Baptiste (1769), Pierre Charles Auguste (1772) et Marie Anne Marguerite (1776).

Le 16 septembre 1780 à Flers, elle épouse Pierre HUET, tisserand né en 1751 et orphelin de ses père et mère Jean HUET et Françoise ROUSSEL.

Son premier enfant Marie Catherine naît un an plus tard le 19 septembre 1781. Louis François suit le 2 juin 1783. Son troisième et dernier enfant Françoise voit le jour le 26 janvier 1785.

Son marie Pierre HUET décède à 34 ans le 8 janvier 1786 en la laissant avec trois enfants en bas âge : 4 ans 3 mois pour l’aînée, 2 ans 7 mois pour le deuxième et 11 mois et demi pour la dernière.

Elle ne se remariera pas.

Sa mère Anne HALBOUT décède à 66 ans le 28 pluviôse an IX (17 février 1801) et son père le 13 juin 1811 à 83 ans.

Le 5 novembre 1817, son fils Louis François, alors âgé de 34 ans, épouse à La-Chapelle-Biche Marie Anne LEPRINCE âgée de 22 ans.

Elle verra naître les 9 enfants du couple entre 1818 et 1837.

Elle s’éteint au bel âge de 87 ans le 5 mai 1843 au village des Basses-Folletières à Flers.


La fiche Geneanet de Catherine JEHAN.


L’arbre :

Catherine JEHAN (1756-1843) – sosa 229
Louis François HUET (1783-1873) – sosa 114
Victoire Angélique HUET (1832-1905) – sosa 57
Victor Jules JARDIN (1862-1931) – sosa 28
Paul Victor Émile JARDIN (1904-1968) – sosa 14
Ma maman - sosa 7
Moi – sosa 3
Mes filles – sosa 1

Pour aller plus loin :

Ce côté de mon arbre est assez complet : j’ai les fratries, toutes les dates et parfois, j’ai même les sources : j’avais en effet eu accès à des relevés d’état civil qui était mis à la disposition du public à la bibliothèque de Flers, relevés qui m’avaient grandement facilité les recherches.

À un couple près, l’ascendance de Catherine est complète sur 4 générations grâce à des relevés de mariage auxquels j’avais eu accès à la bibliothèque. Il me manque bien souvent les dates de naissance et décès, mais on arrive au XVIIe siècle et les recherches deviennent plus délicates.

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre K :

Et bien, comme expliqué au début de cet article, c’est le néant pour cette lettre là !!

Vous trouverez ici la récapitulation de tous les articles publiés pendant ce challenge AZ 2017.

lundi 12 juin 2017

#ChallengeAZ - J comme Justine

J comme Jeanne, Joséphine, Juliette, Jade, Jacqueline.... ou encore Justine.


Justine Virginie POTIN naît à la fin de l’ère révolutionnaire le 20 brumaire an XIV (11 novembre 1805) à Roncey dans la Manche. Elle est la fille de Pierre POTIN charpentier âgé d’environ 29 ans et de Marie LEROSEY.

Le 4 mai 1841 à Grimesnil, elle épouse Désiré Charles CLOUET de 10 ans son benjamin. Celui-ci est domestique au moment du mariage mais sera charpentier, comme son beau-père, aux naissances de ses enfants. Quant à Virginie, elle est couturière.

4 enfants vont naître : 3 à Grimesnil : Marie Justine Désirée en 1842, Armand Désiré en 1844, Célestine Angélina Léontine en 1845 et la dernière à Guéhébert, commune limitrophe de Grimesnil, Isabelle Céleste en 1850.

Le 25 novembre 1869, elle assiste au mariage de Célestine Angélina Léontine avec Léon Tranquille LEMERRE.

Le 24 novembre 1873, c’est au tour de Isabelle Céleste d’épouser Édouard Auguste LECOCQ en présence de ses parents.

Elle décède en son domicile au village de la Quesnelière à Roncey le 11 février 1880 à 17h à l’âge de 74 ans. Son mari Désiré Charles CLOUET lui survit 5 ans, il décède à Roncey le 25 septembre 1885 à 70 ans.


La fiche Geneanet de Justine Virginie POTIN.


L’arbre :


Justine Virginie POTIN (1805-1880) – sosa 179
Célestine Angelina Léontine CLOUET (1845- ?) – sosa 89
Edmond Pierre LEMERRE (1878- ?) – sosa 44
Léon Auguste LEMERRE (1904-ca 1940) – sosa 22
La grand-mère de mon mari – sosa 11
La mère de mon mari - sosa 5
Mon mari – sosa 2
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :

Les recherche sur cette branche sont dans les plus récentes que j’ai effectués. Virginie est pour l’instant en bout de branche et je ne connais rien de ses parents et de ses éventuels frères et sœurs.

Concernant son état civil, je pense avoir trouvé tout ce qu’il y a à trouver à moins qu’il ne me manque encore des enfants : j’ai en effet trouvé la 4ème enfant de ce couple en effectuant des recherches pour cet article.

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre J :

Le prénom féminin commençant par la lettre J le plus courant dans ma généalogie est Jeanne qui apparaît 145 fois. Suit Jacqueline avec 41 utilisations. Joséphine et Julienne sont au coude à coude avec respectivement 27 et 25 utilisations. Juliette et Justine closent ce classement avec 11 porteuses chacune.

samedi 10 juin 2017

#ChallengeAZ - I comme Isabeau

I comme Isidorine, Isao, Irène, Isabelle.... ou encore Isabeau.


Isabeau LEMOUTON est née vers 1615, au début du règne de Louis XIII. Elle est la fille de Nicolas LEMOUTON, écuyer, et de Renée LECERC.

Le 7 août 1640 à Flers (Orne), elle épouse Pierre de NANTRIEUL, sieur de la Pommeraye. Elle a 25 ans, il en a 37 et il est veuf de Marguerite TROLLEY décédée environ un an auparavant.

De leur union vont naître au moins 5 enfants : Jean en 1641, Thomas en 1643, Anne en 1650, Pierre en 1652 et Marguerite en 1655.

Pierre, l’époux d’Isabeau, décède le 9 août 1674 à Flers.

Elle marie son fils aîné Jean avec Madeleine COLLETTE le 3 juillet 1677 à Ronfeugerai

Elle s’éteint âgée d’environ 76 ans le 25 janvier 1691 à Flers sous le règne de Louis XIV.


La fiche Geneanet de Isabeau LEMOUTON.


L’arbre :

Isabeau LEMOUTON (ca 1615-1691) – sosa 14 065
Jean de NANTRIEUL (1641-1715) – sosa 7 032
Daniel de NANTRIEUL (1699-1739) – sosa 3 516
Nicolas de NANTRIEUL (1723-1794) – sosa 1 758
Jeanne Madeleine de NANTRIEUL (1752-1830) – sosa 879
Marie Nicole Anne DUMESNIL (1775-1821) – sosa 439
Anne BERTRAND (1813-1880)sosa 219
Marie Félicitée DEVERRE (1841->1892) – sosa 109
Victor François LECORNU (1867-1946) – sosa 54
Louise Marie LECORNU (1893-1952) – sosa 27
Yvonne Marie Elisa GUERIN (1920-2010) – sosa 13
Mon papa - sosa 6
Moi – sosa 3
Mes filles – sosa 1


Pour aller plus loin :
Ces recherches datent de ma « jeunesse » généalogique mais j’avais tout de même noté la source pour son décès, je devrai par contre vérifier pour son mariage et tâcher de trouver sa naissance si les sources sont disponibles pour cette époque.

Je n’ai pas noté beaucoup de sources pour les générations suivantes, un gros travail de vérification sera là encore à faire.

Statistiques de ma généalogie sur les prénoms féminins commençant par la lettre I :

5 prenons féminins commençant par la lettre I sont présents dans mon arbre.
Isabeau est en tête avec 13 utilisations, suit Isabelle apparaissant 6 fois. Avec 2 porteuses, Isidorine monte sur la 3e marche du podium. Irène et Isao avec chacune une seule apparition ferment le classement.

Vous trouverez ici la récapitulation de tous les articles publiés pendant ce challenge AZ 2017.