vendredi 21 octobre 2016

Reprendre sa généalogie ?

Reprendre sa généalogie à zéro est la question que posait Elise du blog« Auprès de nos racines » début 2015 suite au challenge « Genealogy Do-Over » lancé par l'américain Thomas MacEntee.

La lecture de son billet m'a fait cogiter. En effet, quand j'ai débuté la généalogie, je n'avais pas la rigueur acquise au fil des ans ; je ne notais pas forcément mes sources, je ne reconstituais pas les fratries (j'en ai compris l'utilité que bien plus tard...)....

Mais tout oublier pour recommencer à zéro me paraissait un peu rude quand même, oublier tout le travail de ces presque 20 dernières années était inenvisageable pour moi.

Mais pouvoir « sourcer » toutes les infos contenues dans mon arbre me paraît par contre essentiel pour pouvoir attester la réalité de ce tout que j'ai trouvé.

C'est pourquoi j'ai entrepris un travail de vérification de mon arbre : je suis pour l'instant repartie de ma maman, je reconstitue les fratries oubliées, je note mes sources, je corrige les quelques erreurs que je trouve.

Si j'ai décidé de repartir de ma maman c'est aussi parce qu'une partie des infos n'est pas de moi, j'avais récupéré l'arbre entrepris par mon oncle. Je n'ai donc, pour pas mal d'ancêtres, aucune source, aucune fratrie, aucun témoins...
Et sachant que l'arbre de maman est complet sur 7 générations, ça fait déjà un sacré boulot !

J'ai donc commencé cette vérification depuis une semaine ou deux et pour l'instant, son arbre est vérifié et sourcé sur 2 générations.

Et encore, je ne vérifie pour l'instant que la base de toute généalogie, à savoir les actes de naissance, mariage et décès.

Je profite de cette vérification pour recenser tous les contrats de mariage dans l'espoir de pouvoir aller les consulter un jour aux archives départementales et en savoir un peu plus sur la vie de mes ancêtres.

J'essaie aussi de consulter, quand ils sont présents en ligne, les recensements de population et les fiches matricules.

Bref, non seulement je vérifie mais j'essaie aussi d'étoffer pour en savoir un peu plus leurs vies quotidiennes.

J'ai conscience que j'entreprends un travail énorme, certainement celui de toute une vie mais je ne suis pas pressée, mes ancêtres m'attendent patiemment.

1 commentaire:

  1. Bon courage Valérie
    C'est un travail que je dois faire également
    Quelques minutes par jour ou pr semaine
    On est sûr de toujours faire une découverte
    Benoit
    De MesRacinesFamiliales

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